Le mythe de Don Juan a inspiré des oeuvres nombreuses. Mais celles que je préfère sont, sans aucun doute, le Don Giovani de Mozart, pathétique et sublime, et le Miguel Manara du grand poète lituanien Oscar Milosz, pièce ( ou plutôt mystère ) en six tableaux qui s’achève ainsi
« Maintenant, je suis seul.
Maintenant, je suis seul au milieu des vivants comme la branche nue dont le bruit sec fait peur au vent du soir. Mais mon coeur est joyeux comme le nid qui se souvient et comme la terre qui espère sous la neige. A cause que je sais que toutes choses sont où elles doivent être et vont où elles doivent aller : au lieu assigné par une sagesse qui n’est pas la nôtre ».
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