Quand un journalisme à la botte du pouvoir joue la carte de la rébellion face à un communicant reproduisant les tics de son gourou jusqu’en ses gestes et intonations, cela donne un bien triste résultat !
Finalement, pour le journaliste comme pour le pseudo politique, l’Internet sera l’unique coupable, le seul à venir troubler leurs débats entendus entre élites corrompues.
La vilaine bête, le monstre infâme sera le peuple, fomenteur de complots, initiateur de fascisme comme le soulignait Hannah Arendt, assez sotte pour finir dans les bras d’un nazillon.
Or, révolution française et nazisme inclus, le petit peuple, on l’a toujours manipulé !
Il faut que l’Internet triomphe de ces deux clans marchant main dans la main, sinon l’un, le faux journalisme, ne sera plus là que pour faire la propagande de l’autre, le pseudo politique !
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