Mauvais exemple que celui-là, vraiment. Dommage.
L’auteur ne doit pas savoir qu’ initialement, opération flashpoint, développé par Bohemia Interactive et sorti en 2001 était le premier simulateur de conflit terrestre sur le marché vidéoludique.
Tout le contraire des jeux où on se balade avec 100 kilos sur le dos et un chargeur dans le buffet en mitraillant les ennemis à la mitrailleuse lourde façon rambo.
Là on rampe, on se cache, on a envie de piquer une jeep pour fuir les combats, bref rien qui puisse faire penser que la guerre c’est fun.
Mais cette difficulté assumée a crée un marché de niche, des fans « purs et durs » et c’est là où la (vraie) guerre marketing intervient.
En effet, la licence « opération flashpoint » c’est à dire le titre, a été rachetée par Codemasters. La licence, mais pas l’équipe de développement : celle-ci réalisera le jeu ARMA : Armed Assault en 2007 suivi de ARMA 2 en 2009. jeux élitistes, difficiles, réalistes dans la droite ligne d’opération flashpoint.
Et opération flashpoint Dragon Rising ? Un coup marketing basé sur la légende du premier du nom.
D’où le « la guerre comme si vous y étiez » ostensible et du coup peu crédible.
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