Joli coup de gueule, j’approuve.
Quand j’étais jeune, il y avait trois classes dans les trains. Puis j’ai observé une classe ouvrière, une classe de notables, et probablement au dessus mais où ? une classe lointaine ...
La classe ouvrière avait ses valeurs, ses traditions, sa fierté, votait communiste. Je crois que cela a coïncidé avec le renforcement des classes moyennes.
Puis les choses se sont dégradées : on a de moins en moins moins parlé de classe ouvrière mais davantage de prolétaires. Puis de plus en plus de chômeurs, d’exclus, en même temps que les classes moyennes ont commencé à péricliter.
Aujourd’hui, comme dans les trains, il n’y a plus que deux classes : la classe arrogante et décomplexée, libérale dans les moeurs, qui dispose impunément des corps d’autrui, et la classe moyenne, taillable et corvéable à merci et à laquelle l’on ne permet même pas la libre disposition de son propre corps.
Une figure d’agoravox est même allée jusqu’à dire que le refus de la vaccination c’était comme voyager sans billet, rien moins que de l’ultralibéralisme, dumême ultralibéralisme que celui qui revendique le mariage gay, voire même, le droit à la pédophilie.
Oui, la classe des peoples est vraiment décomplexée : elle peut, elle a des sbires infiltrés dans le peuple.
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