Seguela est l’exemple-type du gros con qui a réussi à gagner du fric, en exploitant les ressources les plus viles, les sentiments les plus bas, la médiocrité la plus absolue, sans la moindre once de talent autre que copieur et brasseur de formules creuses.
On comprend son dépit de vieux con, quand il est confronté à la formidable créativité du net, qui lui renvoie, en miroir, l’image de son vide abyssal.
Mais, de plus, Seguela est un petit être mesquin et revanchard ; en bon autosatisfait, il ne peut que projeter sur les autres son infinie bassesse et sa degueulasserie ordinaire.
Que cet homme soit montré, invité, dans les médias, que sa parole soit ainsi répercutée, montre à quel niveau la « société du spectacle » a ravalé l’intelligence et la dignité dans les basses fosses du consumerisme roi.
Desproges était encore bien en dessous de la vérité ; Seguela n’est pas seulement un con, c’est un sale con.
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