Merci pour votre article, qui touche 3 problèmes de fond :
1) Le problème d’une médecine curative, plutôt que préventive Le médecin moderne est payé pour « réparer » le corps d’une maladie et non pas lorsque c’est grâce à lui qu’aucune maladie ne se développe. En Chine, il y a quelques siècles, on arrêtait de payer le médecin lorsque l’on tombait malade. De cette manière, aucun profit du corps médical n’est possible lorsqu’une personne est malade.
2) La vision mécanique de notre médecine, pour qui la psyché n’a que peu d’importance, alors qu’il est désormais établi qu’une interdépendance profonde existe entre corps et psyché : fragilisation des défenses immunitaires chez la personne déprimée, fragilisation de la psyché chez la personne blessée, jusqu’aux découvertes récentes de renfort immunitaire et d’augmentation de la production de cellules souches chez les grands méditants ;
3) Les énormes bénéfices dégagés par les laboratoires pour « traiter » le cancer. Traiter est souvent un bien grand mot, car les chimio et radio thérapies ciblent autant les cellules saines que cancéreuses, et provoquent parfois plus de dégâts que de guérison. Citons également la mise à l’index des scientifiques sortant des chemins battus, comme le professeur Beljanski, alors même que leurs techniques fonctionnent parfois cent fois mieux.
Dans l’état actuelle de notre médecine et du pouvoir de décision de vie ou de mort d’une thérapie par les laboratoires pharmaceutiques, je pense qu’il y a très peu de chance qu’une VRAIE thérapie voit le jour pour le grand public.