ouah qu’elle joie de reprendre une louche d’un de mes films préférés,
empreint de la mélancolie annonciatrice de « il était une fois l’amérique » comme si Leone au final de sa vie c’était rapproché de ses héros Mallory ou son pendant américain Noodles.
je n’y ai jamais vu de « ratage » car j’aime les faux rythme de Leone sa façon d’être là où on ne l’attend pas et qu’importe si les techniques ont évolués. Mon esprit marche mieux aux maquettes qu’au moches images de synthèse ou même à l’incrustation bricolée « Messa Verde » faisant apparaitre Coburn comme le Messie.
Je dit ça parceque mon désarroi fut grand lorsqu’au détour d’une interview Leone annonça regretter ce film car il estimait au final qu’un film ne devait pas être politique ou plus nuancé faisant référence aux allusions historiques du film (exécution de Mussolini, république de SALO, Massacre des Fosses Adréatines...)
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