La production gramscienne de l’idéologie neo-communiste bat son plein. Au moment où on s’attendrait en toute logique que les compagnons de route fassent un minimum d’autocritique (ou à tout le moins ferment leurs gueules ), voilà la chute du mur qu’ils ont soutenus par leur aveuglement devenir leur gloire. Non contents de ce premier et ahurissant retournement de sens, une barrière de sécurité qui a très probablement sauvé des centaines de vies devient le « Mur de la Honte ».
Il y a eu un expert dans la matière, il s’appelait Willi Munzenberg. Un artiste de la propagande. C’est d’ailleurs sur les bases posées par lui et Gramsci que s’appuie la propagande neocommuniste aujourd’hui.
Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe, en haut à droite de cette page
Si vous n'avez pas de login / mot de passe, vous devez vous inscrire ici.
Agoravox utilise les technologies du logiciel libre : SPIP, Apache, Ubuntu, PHP, MySQL, CKEditor.
Site hébergé par la Fondation Agoravox
A propos / Contact / Mentions légales / Cookies et données personnelles / Charte de modération