" Mais on ne peut que constater aujourd’hui que les ménages les plus modestes sont de plus en plus contraints de vivre en ville pendant que les plus aisés font de plus en plus le choix de vivre dans des communes résidentielles ou rurales. "
Excusez moi, mais les ménages les plus modestes ne peuvent plus vivre dans les centre villes devenus trop chers. Ils sont contraints de s’intégrer dans des cités en carton parfois cachées par des peupliers d’Italie à hauteur pour les plus anciens sites. Ces structures soutenues par des lois scélérates comme la Robien, encouragent à déporter les ruraux dans les banlieues avec les problèmes de friction qui s’imposent, et leurs anciennes fermes, longères, fermettes et rurales sont devenues les résidences secondaires de ces gougnafiers et leurs meilleurs complices, banques, marchands de biens, notaires, qui se moquent complètement des arbres sauf devant la plus value qu’ils font peser sur la balance finale. En effet, une maison moche avec un arbre centenaire entraine tout de suite les cilents les plus riches car, si vous mettez deux ans à entreprendre tous les travaux pour rendre la maison moche, belle, il faut néanmoins un siècle pour faire un arbre centenaire...
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