Bonjour Luc-Laurent Salvador,
J’ai pris connaissance de votre article avec beaucoup de sympathie.
Je suis agnostique ce qui, comme chacun le sait, n’est pas une négation du déisme mais un doute raisonnable quant à sa réalité.
Mais si je doute de la réalité d’un ou de plusieurs dieux ou forces sataniques, je suis persuadée que l’être, qu’il soit humain ou animal, ne meurt jamais ‘totalement’. À quoi servirait d’avoir vécu sinon ? À quoi servirait l’univers infini sinon à accueillir ce que j’appellerai l’âme (à défaut d’un autre terme) des défunts sinon ?
Mes anges gardiens, à moi, sont ceux que j’ai aimé et qui ne sont peut-être qu’un souffle infime, une poussière d’énergie dans les galaxies.
Je les crois toujours présents à mes côtés tout simplement parce que je pense à eux chaque jour, et que j’envoie une affectueuse pensée à chacun d’entre eux chaque jour.
À cause de cette croyance - que certains jugeront stupides mais que j’assume et qui est confortée de plus par l’énigme des 20 grammes – la mort ne m’angoisse absolument pas alors que la vieillesse avec ses dégénérescences programmées me terrifie.
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