Sourire de notre prétention à changer le cours du monde, et peut-être aussi le coeur des hommes, selon que nous assignons tel ou tel principe arrangés à notre morale. Qu’ils nous plaisent à nous, philosophes de comptoir, d’invoquer l’égoïsme ou l’altruisme, nous n’aurons refait pour cela ni l’âme humaine ni les conditions de l’existence. Nos doctrines restent dans l’abstrait ; la vie réelle, la vie vécue ne les connaît pas.
Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe, en haut à droite de cette page
Si vous n'avez pas de login / mot de passe, vous devez vous inscrire ici.
Agoravox utilise les technologies du logiciel libre : SPIP, Apache, Ubuntu, PHP, MySQL, CKEditor.
Site hébergé par la Fondation Agoravox
A propos / Contact / Mentions légales / Cookies et données personnelles / Charte de modération