Se précipiter ni une ni deux dans le bureau de la principale et en appeler au premier ministre montre bien un réflexe qui repose sur la mise en cause immédiate de l’institution. Alors, qu’il s’agissait ici de remettre l’élève en place aussitôt en lui annonçant la convocation de ses parents. Remarquez, le réflexe est assez sarkoziste : un problème ? Une loi !
Comme le dit l’auteur, il faut bien marquer la frontière entre la récréation et le cours. Ici, cela ne semble pas avoir été fait (élèves rentrant dans le même état d’agitation que s’il n’y avait pas d’adulte dans la classe). Il me semble que la solution passe par là : une sorte de rite à instituer pour assurer cette transition souhaitable ?
Mais pas de nouvelle loi s’il-vous-plaît ! Les tiroirs en sont pleins ainsi que de circulaires inappliquées !
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