« Toute personne a droit à la liberté de pensée, de conscience et de religion ; ce droit implique la liberté de changer de religion ou de conviction.... »
Or il se trouve que les musulmans n’ont pas le droit de changer de religion, car la religion musulmane prohibe l’apostasie et la punie de mort.
Il apparait donc bien que la religion musulmane NE PEUT PAS bénéficier de la liberté de religion et que cette religion devrait donc être interdite, selon l’Article 18 de la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme.
De plus en terre islamique l’Islam est religion d’Etat. Par exemple on est Algérien ET musulman. D’ailleurs un Algérien musulman ne peut pas plus renoncer à la nationalité algérienne qu’il peut renoncer à la religion musulmane et ses enfants seront algériens, quel que soit leur lieu de naissance, car l’Islam ne connait que le droit du sang.
Si on devait relever toutes les incompatibilités entre l’Islam et notre Droit démocratique, on en finirait plus, l’incompatibilité est manifeste et irréductible.
Cette incompatibilité commence aux sources mêmes des deux droits : dans un cas c’est le peuple qui est la source du droit, dans l’autre c’est Allah.
Disons le carrément : un musulman croyant et pratiquant ne peut pas obéir au droit démocratique sans trahir sa religion, car le respect de notre droit démocratique implique déjà l’abandon de l’origine divine du droit coranique, ce qui est déjà une apostasie !
le respect du droit démocratique implique aussi bien sûr l’abandon d’une multitudes de lois coraniques qui sont contraires et antinomiques à notre droit.
Un musulman qui prétend respecter notre loi est donc avant tout un menteur, mais il convient de noter que ce mensonge est absout d’avance par sa religion et c’est pourquoi l’auteur de cet article peut conseiller sans sourciller à ses coreligionnaires de dissimuler et de mentir !