Donc rendez-vous dans vingt ans à tous les béotiens que nous sommes.
Puis si nous nous sommes trompés et que rien n’a été fait, effectivement, il n’y aura plus qu’à espérer que le Paradis existe. D’ailleurs pourquoi soigner les maladies, condamner les guerres alors que ça permet d’y aller plus vite ?
Seulement dans vingt ans, si le GIEC a raison, l’on risque bien d’être obligé d’avoir recours à des mesures bien plus musclées pour rectifier le tir (si toutes fois c’est encore possible).
Dans le doute, la sagesse voudrait que l’on opte pour le choix qui a le moins de conséquences si on s’est trompé. Oui en l’occurrence le pari de Pascal s’impose !
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