Une de mes amies souffre encore du comportement de son institurice qui la haïssait parce qu’elle était, ce que l’on nommait à l’époque (dans les années 50), une enfant « naturelle ». Privée de récré, pendant des mois, contrainte de se placer sous le bureau de son bourreau qui balançait ses escarpins pointus vers son visage dans l’espoir de la blesser « par inadvertance », elle n’osait rien dire de peur de ne pas être crue.
Une jeune fille de 20 ans de ma connaissance a beaucoup souffert de paroles méchantes de certains enseignants un peu dépassés par cette surdouée qui les dérangeaient. Alors oui, davantage d’écoute et d’empathie sont nécessaires. Mais qui prend la peine d’écouter ?
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