« La désenchantement, c’est je crois le mot qui, après 20 ans, peut définir ce qui s’est passé », résume Raico Cornea, journaliste qui se trouvait dans les rues de Timisoara lorsque la révolte a éclaté.
« La Roumanie a réussi à rester un pays où les cliques ex-communistes semblent contrôler l’économie (...) cela entrave le développement de la Roumanie et rend (...) pénible la transition », dit le sociologue Bruno Stefan.
Des observateurs politiques disent que ses trois mandats de président ont permis à des magnats soupçonnés d’être d’anciens agents de la Securitate de s’accaparer les avoirs publics sous prétexte de passage à la démocratie et au capitalisme.
Ils en veulent pour exemple le démantèlement des grandes coopératives agricoles de l’époque communiste et l’attribution dans les années 1990 de millions d’hectares à des barons du régime.
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