Bonne réaction.
Les structures scolaires font ce qu’elles peuvent avec les moyens et le personnel dont elles disposent.
La violence scolaire ne doit pas passer inaperçue et être à chaque fois réprimandée, les jeunes font toujours la part des choses.
Dans ce style de contexte, pour de jeunes collégiens, l’affirmation « je suis bi » est déjà une agression, ils ne sont pas sensés être préparés à ce discours à cet âge là. Beaucoup d’inconscience dans la tête des parents qui le savent très bien.
La difficulté sera que les « tabasseurs » prendront l’équipe pédagogique à témoin sur la légitimité de leur violente réaction, ce qui renverra chaque adulte à sa engagement à respecter toute forme de sexualité, quels que soient ses préjugés.
Pour information, si un parent frappe un enfant dans ou devant un établissement scolaire, les conséquences judiciaires peuvent être particulièrement sévères.
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