Effectivement, cette main d’oeuvre gratuite est inépuisable. Si un stagiaire n’est pas content ou s’il déplaît, la porte ! Rien ne le protège, et de toute façon, un autre stagiaire prendra sa place dès le lendemain. La perversion du système est qu’on laisse au stagiaire le « choix » de rester ou de ne pas rester. D’où la protestation de certains, suite à mon article, à l’encontre du mot « esclavage » que j’ai utilisé... Les stages n’ont rien à voir avec l’esclavage du temps passé. Il s’agit d’un esclavage nouveau, bien plus pervers : le stagiaire n’a d’autre alternative que de se taire et de travailler sans rien gagner. Pourquoi un jeune n’aurait-il pas les mêmes droits que ses aînés ? J’ai vraiment du mal à comprendre...
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