Brassens :
« Il est toujours joli, le temps passé,
Une fois qu’ils ont cassé leur pipe,
On pardonne à tous ceux, qui nous ont offensé,
Les morts sont tous des braves types. »
« Si Seguin disparaît,
La Cour des comptes demeure
Mais on ne tient jamais
Compte de ses humeurs
Il y a là pourtant
Matière à critiquer
Et voir tout cet argent
Honteusement gaspillé
En réceptions grandioses
Contrats entre coquins
Marchés dont on dispose
A coups de pot-de-vins
Bâtiments de prestige
Falcon et caméras
Cela donne le vertige
A la France d’en bas
Dont le rôle se résume
A se taire et payer
Oublier qu’on l’enfume
Regardant sa télé. »
Voilà, c’est dit, et libre de droits. Bon courage à tous.
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