Et si le port de ce « vêtement de tête » était tout bêtement jugé de nature à empêcher de connaître ou de reconnaître un individu, indépendamment de ce qu’il peut « signifier », dont après tout on ne peut avoir que foutre ? Asservissement, c’est sans doute la règle, avec peut-être quelques exemples de choix délibéré qui font figure d’exception, mais puisque c’est pratiquement indémontrable (on connaît les liens solides qui unissent souvent les esclaves à leur maître qui faussent leur jugement), qu’on s’en tienne donc à ce que ces pratiques vestimentaires ont d’incompatible avec l’idée de transparence non pas du tissu, mais des simples communications entre citoyens, mettant en jeu la reconnaissance des visages et l’appréciation des expressions de ceux-ci.
EXEMPLE :
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