Ne condamnons pas des femmes oppressées à retourner je ne sais où. Donnons-leur plutôt une chance d’échapper à l’oppression barbare de leurs maris, en trouvant dans nos lois des espaces de liberté qu’on leur refuse. Car avant tout, c’est d’elles qu’il s’agit. Vous trouverez sur mon blog perso (à la fin de ma version privée de l’article que j’ai posté ici) une copie d’une tribune publiée par Elisabeth Badinter il y a quelques temps, qui dit cela infiniment mieux que moi.
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