Bonjour Raphaël,
Le texte est magnifique, drôle à souhait.
Pour ma part, qui ne suis plus sur les rangs par choix, je trouve que les hommes sont encore des hommes.
Ils ont changé, certes et c’est bien heureux. Il faut évoluer aussi, messieurs.
Un homme qui pousse un caddy, donne le biberon à son fils, reste un homme. C’est bien lui qui l’a fait ce moutard.
Qu’ils s’épilent, pourquoi pas ? je trouve beurk ces touffes de poil qui sortent de partout.
Les odeurs de transpiration qui font le mâle, beurk ! je préfère un homme fleurant bon une
eau de toilette virile.
Les hommes ont encore de beaux jours devant eux avant de perdre totalement la face, en
réclamant le droit d’allaiter leurs bébés.
Messieurs, arrêtez de pleurnicher, ya la poubelle à sortir, le chien à promener. N’est-ce pas viril un homme fort, portant à bout de bras cette poubelle mal-odorante et la déposer délicatement au bord du trottoir ? n’est-ce pas viril de voir un homme grand, costaud lover
son tout petit au creux de son bras et le câliner ?
Les autres, les crétins de la zigounette n’ont qu’ à enfourcher leur gros cube et aller
polluer l’air suivi d’une virée au bistrot et rentrer torchés à la maison, leur moitié d ’épouse les attendant patiemment avec le ragout.
Et cela vous apprendra aussi, messieurs, que d’aller conter fleurette du 1er janvier au 31 décembre ça use son homme. Les femmes vous ont observé et ont tiré des conclusions pas en votre faveur apparemment.
Sissy
