Bonjour les Hommes (et coucou aux femmes, qui se sont détournées sans humour de cette provoc’ au second degré - ou donc est notre Sissy, la Reine des Gâteaux - pas vrai, Big ?)
Evidemment que c’est du second degré, mais qui accompagne un certain énervement que je vous imagine, Messieurs, partageant avec moi, devant la féministation forcée des comportements, notammant dans le domaine professionnel.
Dans le domain privé c’est à devenir schizo - principales fautives, les 30-40 ans, plutôt cadresses, qui tiennent à garder la main sur.... heuh... le levier de vitesse, timon,bref, la direction des opérations, mais se plaignent ensuite d’avoir affaire à des « hommes soumis ».
En cause aussi, la société qui se veut désexuée dans tous les domaines qui ne sont pas réservés à cela. J’entends, même au boulot, tenir les portes, les manteaux, faire des compliments, sans pour autant être rangé parmi les VRP d’antan. Et voir une femme chercher son porte-monnaie au restaurant me met mal à l’aise !
Cela passe plutôt mal avec une catégorie qui ne m’a jamais aimé - âge intermédiaire, vêtements passe-muraille, cheveu court - plutôt marqué à gauche.
Même les jeunes sont parfois déroutants. J’ai organisé un colloque où nous nous retrouvions pour dîner, surtout des jeunes femmes et quelques hommes, la petite trentaine, et je n’ai constaté aucun nuage de phéromones présageant d’un va et vient entre chambres d’hôtel. Où est passée la bonne vieille drague d’antan ?
Bon, Messieurs, on rallume quelques puros et on se ressert en cognac/Jack Daniel/ whisky ?
Enfin, je terminerai sur une citation de l’excellente « Physiologie de l’amour moderne » de Paul Bourget : deux demi-mondaines devant la cage des singes, au Jardin des Plantes, et l’une qui dit à l’autre : « Après tout, il ne leur manque que l’argent ».
En contraste, Henri Heine, parlant du chevalier aimé de la fée Mélusine : « Heureux homme dont la maîtresse n’était serpent qu’à moitié ! »
Et saluons un athlète de l’Amour, grand amateur de dames, que ses amis, devant son expression désolée, qualifièrent de « Taureau triste », et qui répondit « Cela vaut toujours mieux que d’être un boeuf ! »
Santé !
Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe, en haut à droite de cette page
Si vous n'avez pas de login / mot de passe, vous devez vous inscrire ici.
Agoravox utilise les technologies du logiciel libre : SPIP, Apache, Ubuntu, PHP, MySQL, CKEditor.
Site hébergé par la Fondation Agoravox
A propos / Contact / Mentions légales / Cookies et données personnelles / Charte de modération