La mantille est alors le couvre-chef usuel des femmes catholiques à la messe, couvre-chef justifié par la lecture du chapitre 11 de la première épitre aux Corinthiens :
5. Toute femme, au contraire, qui prie ou qui prophétise, la tête non voilée, déshonore son chef : c’est comme si elle était rasée.
6. Car
si une femme n’est pas voilée, qu’elle se coupe aussi les cheveux. Or,
s’il est honteux pour une femme d’avoir les cheveux coupés ou d’être
rasée, qu’elle se voile.
7. L’homme ne doit pas se couvrir
la tête, puisqu’il est l’image et la gloire de Dieu, tandis que la
femme est la gloire de l’homme.
8. En effet, l’homme n’a pas été tiré de la femme, mais la femme a été tirée de l’homme ;
9. et l’homme n’a pas été créé à cause de la femme, mais la femme a été créée à cause de l’homme.
10. C’est pourquoi la femme, à cause des anges, doit avoir sur la tête une marque de l’autorité dont elle dépend.
11. Toutefois, dans le Seigneur, la femme n’est point sans l’homme, ni l’homme sans la femme.
12. Car, de même que la femme a été tirée de l’homme, de même l’homme existe par la femme, et tout vient de Dieu.
13. Jugez-en vous-mêmes : est-il convenable qu’une femme prie Dieu sans être voilée ?
Le code de droit canonique de 1917 ira donc jusqu’à rendre obligatoire le couvre-chef pour les femmes à l’Église.[1
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