Hormi la pub pour le « cru », je trouve que vous posez bien le problème et allez au fond des choses.
Malades certes, mais vivants
Vous évrivez : « Certes on peut invoquer, avec quelque cynisme, la bonne santé du secteur pharmaceutique, médical et para-médical qui profite à plein de l’augmentation régulière des dépenses de santé, mais le coût de la maladie ne se limite pas aux seules charges remboursées. »
Pour ma part j’aurais écris : "Malades certes, mais vivants
Non seulement on peut invoquer, avec quelque cynisme, la bonne santé du secteur pharmaceutique, médical et para-médical qui profite à plein de l’augmentation régulière des dépenses de santé, mais en outre, le coût de la maladie ne se limite pas aux seules charges remboursées.
Je crois que les plus gros problèmes de santé proviennent de la nourriture industrielles et des pollutions en tous genres. Mais aussi, je citerai les maladies iatrigènes.
Et je remplacerais votre sous-titre : « Malades certes, mais vivants » par « Vivants certes, mais malades ».
Je crois qu’il ne faut pas hésiter à dénoncer les milliards dépensés pour « lutter » contre la récente pseudo pandémie avec une « thérapeutique » destinée manifestement à soigner davantage les finances de Bigpharma et tutti quanti que les populations.
Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe, en haut à droite de cette page
Si vous n'avez pas de login / mot de passe, vous devez vous inscrire ici.
Agoravox utilise les technologies du logiciel libre : SPIP, Apache, Ubuntu, PHP, MySQL, CKEditor.
Site hébergé par la Fondation Agoravox
A propos / Contact / Mentions légales / Cookies et données personnelles / Charte de modération