Hormis cela, si les syndicalistes de terrain -les militants de base- sont assez sincères -quoique souvent intéressés par la seule défense de leurs propres intérêts-, ceux qui officient au sommet sont depuis longtemps corrompus, contraints d’user d’un jeu de va-et-vient incessant -un coup pour le salarié, un autre pour le patron-, de fausse rébellion, d’un simulacre de dissidence.
A l’image du facteur Besancenot -dont Sud s’inspire-, ils crient haut et fort une révolte pour mieux cacher qu’ils sont depuis belle lurette passés à l’ennemi.
Combien de francs-maçons parmi ceux-là ?... carriéristes d’une contestation subventionnée.
Et à leur base, combien se protégeant ainsi d’un éventuel licenciement ?
Si une révolution advenait, elle se ferait sans eux qui, en monopolisant le contre-pouvoir, par leur double discours étouffent tout mouvement possible !
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