Ce « dîner de têtes » autour des éventuels présidentiables réduit les enjeux politique à du pur anecdotique, comme si le plus important c’était le casting avec des critères que ne renierait pas une officine de recrutement de cadres dynamiques.
Réduire les enjeux politiques actuels à la bonne « incarnation » de la Présidence, c’est faire croire que la démocratie se dissout dans les jeux de concurrences personnelles dignes des reality shows.
Peut-être pourrions-nous méditer la première phrase du second couplet de l’Internationale : « il nest pas de sauveur suprême, ni Dieu, ni César, ni tribun .... »
La pire des bêtises de Jospin est bien l’inversion du calendrier électoral : en plaçant les présidentielles avant les législative, la France est entrée dans une ère où l’intérêt pour les élections présidentielles est inversement proportionnel au degré de responsabilisation politique du Peuple.
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