J’ajoute que le cas du blâme pour fautes imaginaires, avec témoignages diffamatoires et anonymes ajoutés au dossier, n’est pas isolé.
Il se pratique dans diverses académies, et actuellement. Il faut savoir aussi que quand un enseignant veut témoigner de ce qui se passe vraiment, l’administration-voyou s’empresse de lui monter une procédure disciplinaire stalinienne (le fond est truqué, seules les apparences sont sauves) pour « manquement au devoir de réserve » (idéal pour museler le récalcitrant et l’empêcher de défendre sa réputation quand on le fait passer pour « paranoïaque »).
Ceux qui doutent de la réalité de ces pratiques connaissent bien mal l’institution scolaire. Il y a pourtant un moyen très simple de savoir si elles sont avérées ou pas : exiger la levée du « devoir de réserve » et permettre aux enseignants de s’exprimer sans crainte des représailles. Que les commentateurs sceptiques, puisqu’ils sont aussi des citoyens après tout, commencent par là avant de critiquer.
Publier les archives des rectorats, ce sera un peu comme découvrir celles de la Stasi...
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