@ l’auteur
L’affaire de cette adolescente est entre les mains de l’IGS attendons les conclusions.
Primo les GAV ne sont plus à l’iniative d’un OPJ mais tout simplement par un APJ soit un simple gardien de la paix. Là où le bât blesse, c’est que le parquet (350 parquetiers pour la totalité du territoire national) ne prend pas le temps de l’examen du délit et de la peine encourue faute de temps.
Pour les « faits contraventionnels » même sans rebellion, infraction au code de la route, ivresse, feu rouge, papiers du véhicule suspects suite à contrôle, il y a GAV ; entre 200 000 et 300 000 l’année dernière chiffres du M.I et du M.J pour ce qui est de la voie publique.
La GAV ( 24 heures à 96 heures) est une nécessité dés lors qu’il y a une enquète indispensable à la manifestation de la vérité mais quand les faits sont établis et sans impact à l’ordre public, une simple convocation devrait être la règle.
La GAV ne mettra pas fin à la violence des mineurs ou majeurs sauf à abonder les statistiques et la culture du chiffre.
Il en est de même des radars routiers, ils diminuent la vitesse ponctuellement mais d’aucune façon la violence routière.
C’est tout le système social, moral et économique qui est malade et violent et ce sont les causes qu’il faut rechercher et éliminer ; cela atténuerai toutes ces dérives comportementales.
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