Ca demande réflexion tout ça ! je ne retiendrais que celle-ci :
Aujourd’hui la violence semble avoir perdu toute légitimité dans
l’espace politique au point de signifier le mal absolu, cette
impossibilité à dissocier l’agressivité de la violence sociétale qui
peut en découler pose de graves problèmes, au point de ne plus
distinguer dans la contrainte culturelle qu’exige notre existence
« concentrationnaire », quand elle est la soumission de l’autre ou un
manquement organisationnel, quand elle est protection ou agression,
quand elle sécurise la société ou quand elle l’apeure
Est-ce bien une peur politicienne ou ne viendraient -elles pas de ses donneurs d’ordres aux comportements agressifs qui craignent une riposte ?