Je suis bien d’accord avec vous sur le sujet des enfants dits « médicaments » : il n’est pas question qu’ils donnent un organe. D’ailleurs la loi l’interdit selon le principe du consenteemnt libre et éclairé. Là où cela devient plus compliqué, c’est lors que le don porte sur de la moëlle épinière ou sur des tissus. Ce sont des produits certes renouvelables, mais il ne faut pas non-plus oublier le risque médical lors du prélèvement. Et quand l’enfant est né suite à une sélection des embryons pour avoir un profil compatible du receveur, on entre dans une problématique lourde : le bien-être voir la survie d’enfant d’un côté, et un risque de plomber la vie d’un enfant qui se demandera peut-être s’il a été autant désiré que ses frères ou soeurs. C’est pour celà que j’ai été étonné que l’on autorise ces pratiques sans débat ni recul alors que l’on interdit des pratiques où on a plein de recul qui montre que cela se passe bien si on respecte certaines règles. Un poids deux mesures.
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