2) Ils décident d’un piège mettant en jeu le fantasme xénophobe de la droite en divulguant de fausses informations mais crédibles au regard d’une condamnation réelle très ancienne, mais prescrite ;
3) Les UMPistes s’empressent de faire ce qu’on peut attendre d’eux : utiliser ces infos bidons, sans prendre le peine de les vérifier, pour diffamer le candidat noir du PS.
4) le PS attend quelques jours, afin de bien ferrer les UMPistes
5) Une procureure, sans doute proche du PS, au moment opportun (le dépôt de la plainte), dévoile la la diffamation.
6) Mise face à la bétise insigne des diffamateurs xénophobes de l’UMP, la ministre candidate de l’UMP se voir contrainte de désavouer ses fidèles lieutenants après les avoir encouragé dans leurs basses oeuvres.
Ce scénario est purement fictif , rassurez-vous : la bêtise xénophobe, voire raciste, n’a pas besoin de pièges aussi subtils pour éclater, toute honte bue, au grand jour...
Monsieur Poniatovsky est sans doute un député sérieux mais un candidat trop pressé de cumuler pour être tout à fait un bon candidat aux régionales. Il est vrai qu’un prince n’en est pas moins un homme, à l’âme aussi faillible ou aussi peu blanche que n’importe lequel d’entre nous...fusse un homme au corps tout noir (Montesquieu : « Les lettres persanes »).