Bonjour, Josée.
J’ai bien aimé votre article car il souligne que derrière la vitrine, il y a des réalités moins glorieuses.
Cela dit, vous donnez vous aussi dans le lyrisme et le pathos avec votre conclusion car, dès leur naissance, ces vaches sont destinées à l’alimentation humaine et non à être parquées dans un pré pour le seul plaisir de citadins en villagiature venus les contempler.
C’est la dure loi de l’élevage et, sauf à changer radicalement de nourriture (non seulement en viande, mais également en produits laitiers), il en ira toujours ainsi, le monde de l’élevage, déjà en difficulté, n’ayant pas pour vocation d’entretenir des dizaines de milliers de vaches retraitées et oisives.
Ainsi va la vie, et croyez bien que je le regrette personnellement, étant amoureux de ces bêtes, et notamment de toutes les Aïda que sont ces superbes salers qui peuplent les pâturages de mon Auvergne.
A toutes fins utiles, voici un lien avec l’un de mes articles consacré au monde bovin : « Ah… la vache ! »
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