A monsieur Emie Martinez
Votre article peut valablement être scindé en deux parties Une première partie où vous décrivez avec des mots touchants votre parcours d’immigé espagnol sur la terre algérienne où vous avez souche et àce titre , vous avez les mêmes droits et les devoirs des Algériens. Je vous suis sur ce terrain
Par contre vous semblez dire que seuls ceux qui sotn partis ont souffert . Avez vous mesuré le désarroi des intellectuels algériens qui galèrent après un hypothétique visa pour venir en France dans un cadre universitaire et être à leur corps défendant les vrais piliers de la frnacophonie dans leur pays !! Les relations auraient pu être beaucoup plus apaisés si le démon du racisme et de l’intolérance n’étaient pas encouragés
Dans une deuxième partie vous tentez d’expliquer l’ambiguité du discours chez Camus avant d’être finalement acculé lors du discours de Stolkholm à dévoiler sa position intime : Même si on laisse la phrase dans son contexte, les bombes à Alger . Il n’empêche je suis personnellement de ceux qui ne comprennent comment Camus un « Algérien » qui ne doit rien à la France en arrive à la préferer à sa terre natale ! Y -at-il une alchimie civilisationnelle ethnique ou... religieuse qui font que chacun compte ses billes à un moment donné ?
J’ai toujours dit que Camus est un grand écrivain qui a choisi dêtre Français, cela n’enlève rien à son immense talent, mais je vois mal comment nous en tant qu’algériens on le revendique au nom d’une prétendue naissance en Algérie.
Pour le reste, j’ai moi-même écrit une petite contribution sur Agoravox que j’ai intitulé : « Pour ne finir avec Camus »
Prof.C.E. Chitour
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