L’auteur mélange tout et oublie de manière opportune certains détails :
Tout d’abord le propriétaire repart avec un capital après un certain temps contrairement au locataire qui se retrouve avec sa caution et un appartement à louer. Bien évidemment à chacun de voir quand vendre et quand acheter.
Dans un second temps, les remboursements mensuels sont fixes chez le propriétaires mais peuvent évoluer chez le locataire.
Ensuite, le locataire peut sous certaines conditions ètre expulsé de son logis et ce même s’il paye correctement.
Enfin, après un temps déterminé, le propriétaire ne paye plus rien à la banque car il a remboursé son prêt, en revanche le locataire est condamné à payer ad vitam aeternam.
Le locataire paye aussi la taxe d’habitation.
Ceci dit, j’apprécie les propos de l’auteur lorsqu’il prétend que l’immobilier américain n’a jamais créée de valeur hors inflation à part entre 2000 et 2005 : certaines personnes de ce pays sont devenues riches gràce à l’immobilier.
En conclusion, chacun est libre de ses choix mais il apparait surprenant de tenir des propos aussi erronés de la part d’un individu s’affichant comme spécialiste du patrimoine.
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