- D’un côté le monde privé —entre autres en version française — conduit à une destruction partielle des savoir-faire et savoir-vivre.
Et à un non-respect entre supérieurs et subordonnées (les petites boites qui vont bien tirent souvent leur épingle du jeu grâce à la la motivation qui nait de la logique inverse)
De l’autre, le secteur public a inventé une complexité sans fin qui le paralyse (le mille-feuille, la réticulation administrative) ; là c’est plus délicat : est-ce qu’il a fait cela structurellement comme l’effet du Léviathan sur lui-même ou est-ce que la techno structure capitalistique lui a fait colmater les trous un à un, ce qui finit évidemment par oter du sens au tout.
Au niveau de la crise grecque et de la banque européenne, cela plaide pour la deuxième voie.
Au niveau de la gestion francaise des régions et départements, ou de sa recherche ou de son enseignement supérieur, il faut aussi sans doute regarder dedans comment cela s’est fait...
Malheureusement il y a un cercle vicieux : seul un système « plutot efficace » donne envie de voter et de le modifier. Dans un système « compliqué ingérable », personne ne veut mettre les pieds, la débrouillardise individuelle parait un meilleur remède, le vote disparait et le clientélisme l’emporte. Toutefois, il rest des limites en France, comme la défaite extrême et insuffisamment soulignée de Penchard à la Guadeloupe (17% sur les DOM concernés je crois).
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