Article intéressant qui recoupe ce que j’ai lu il y a quelques temps dans le Monde Diplomatique : dans les films de Clint Eastwood, les problèmes ne sont jamais réglés par la société (police, justice, citoyenneté...) mais individuellement : soit par le règlement de comptes, soit, dans Gran Torino, par le « sacrifice » pour faire arrêter les méchants. La solution n’est jamais collective, mais exclusivement individuelle.
C’est ce que mettait en lumière cet article du MD.
Après, ça n’empêche pas d’aimer Eastwood en tant qu’acteur et réalisateur, mais on peut aussi avoir un regard critique sur l’oeuvre, indépendemment de la qualité du personnage.
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