ne se focalise t’on pas excessivement ( voire quasi uniquement ) sur la dette PUBLIQUE ( de plus sur la dette publique brute et non sur la dette publique nette , ce qui fait qu’ à « dette publique » équivalente , on ne distingue pas entre l’état qui posséde un joli patrimoine d’actifs rentables en portefeuille , et celui qui , ayant déja tout privatisé , n’a plus rien qu’il puisse négocier )
Il me semble personnellement qu’un état dont la « dette publique » serait par exemple de 80 pour cent du PIB est dans un moins mauvaise posture si les acteurs résidents privés ( entreprises et ménages) sont prospéres ,peu endettés , constituant ainsi une base imposable saine et peu exploitée , qu’un état de « dette publique » 40 pour cent , où les acteurs privés sont en situation de surendettement important . Les marges de manoeuvre de cet état sont alors bien faibles ....
Astuce ( utopique et irréalisable en l’état mais seulement destinée à faire réfléchir ) : si on répartissait et affectait nominalement la « dette publique » française entre les 22 millions à peu prés de ménages ainsi qu’entre les différents acteurs privés , on aurait une dette privée de l’ordre de celles de RU , USA ou Espagne et une dette publique .... nulle . Je gage qu’on nous foutrait alors la paix avec ces ratios dettes publiques sur PIB . En serions nous pour autant plus riches , collectivement ou individuellement : non , ni plus riches , ni plus pauvres . Nous aurions moins d’impots ( plus d’interets sur la dette publique à payer par l’impot ) , mais en revanche nous aurions des dettes privées à financer ( comme nos voisins cités plus hauts ) .
Hummmm ????
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