En réponse à :
« Sérieusement, vous croyez vraiment que Peugeot produit des voitures, Michelin des pneumatiques et Aventis des médicaments ? Bien sûr que non ! Ils produisent des profits. » (Jean-Pierre Berlan)
Pourquoi la profession de journaliste échapperait-elle à la condition de producteur de profits ? Et pourquoi, si l’on admet qu’ils sont formatés pour produire des profits, s’étonner qu’ils soient tous formatés sur le même moule ?
Alors, le journalisme, c’est fini ? « Quand je parle de la mort du journalisme, j’évoque bien entendu l’épuisement du Programme du Conseil national de la Résistance, qui aura connu son apogée dans les années soixante avec ce journalisme des sociétés de rédacteurs » (Pierre Rimbert, Le Monde diplomatique, mai 2007
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