Il fallait « libérer les femmes » – c’était le grand argument pour envoyer contre l’un des pays les plus pauvres du monde la plus puissante machine de guerre de la planète, qui depuis cela, inflige chaque jour d’indicibles souffrances aux femmes et aux enfants. Maintenant qu’il est évident que l’armée US et ses alliés de l’OTAN sont à bout de souffle et que la prétendue reconstruction n’est en vue nulle part, on a recours au « facteur féminin » : des Marines femmes sont chargées – une idée des généraux US – de gagner la confiance des femmes afghanes, au moyen de queues de cheval, jeux avec les enfants et bavardages, afin « d’obtenir des informations ».
Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe, en haut à droite de cette page
Si vous n'avez pas de login / mot de passe, vous devez vous inscrire ici.
Agoravox utilise les technologies du logiciel libre : SPIP, Apache, Ubuntu, PHP, MySQL, CKEditor.
Site hébergé par la Fondation Agoravox
A propos / Contact / Mentions légales / Cookies et données personnelles / Charte de modération