Un film sorti il y a quelques décennies, Zardoz, parle justement de l’ennui de l’immortalité. Il dépeint un monde où mourir serait impossible et où tout le monde ne recherche et ne désire qu’une seule chose : la mort salutaire. Mais ces gens avaient toutes les tares de la vieillesse, ils souffraient atrocement.
Le problème de la vieillesse, c’est la souffrance, qui rend agressif dans bien des cas. Le rôle de la médecine est de combattre la souffrance. On ne peut alors que s’étonner de l’absence de traitement de la souffrance des agonisants dans les mourroirs de Calcutta dirigés par la nobélisée Mère Thérésa.
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