Après votre article paru hier sur le même sujet , le buzz ou ramdam , où l’accusé était l’interviewé ,
vous tirez une conclusion inverse pour Peillon où l’accusé est le média .
Dans les deux cas , la Presse a le même comportement : tirer parti d’une situation - la colére de
Mélenchon - ou de quelques phrases tronquées - pour fournir au diffuseur de la publicité , du trafic sur la toile , et donc attirer les annonceurs qui financent ce média .
Vous le dites vous même , le but premier n’est pas d’informer . Je traduis : il est commercial .
Ce matin, 18 jours après « l’affaire » Mélenchon , Pascal Riché de Rue 89 , d’habitude mieux inspiré , en remet une couche pour défendre son ex-stagiaire : il parle des curieuses justifications de « l’accusé »et des « conneries »qu’il a dites au micro qui se tendait vers lui .
Riché avec cette réaction corporatiste et basique n’élève pas le débat . Il montre qu’ il n’a rien compris à la défiance générale du public qui touche les médias traditionnels : leur crédibilité
est mise en cause , surtout avec le net qui permet de croiser les infos .
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