Les définitions de la pauvreté qui s’appuient sur des montants de revenu en fraction d’un revenu médian n’ont absolument aucune signification, si ce n’est de mal mesurer l’inégalité, ce que fait bien mieux le coefficient de Gini.
Mais cette définition est bien pratique pour les idéologues, toujours assurés par la définition même de cette « pauvreté » de pacotille d’avoir un chiffre qui donnent à leurs élucubrations un côté scientifique.
Les statisticiens sérieux étudient plutôt l’évolution du nombre de personnes vivant avec moins qu’une certaine somme choisie arbitrairement (généralement un dollar/jour actualisé en pouvoir d’achat) pour saisir les tendances.
Mais pour n’importe qui d’un peu sensé, est pauvre celui qui travaille du lever du jour au coucher pour juste vivre. Chose inimaginable pour les assistés qui se délectent d’articles sur les « pauvres » lus sur un ordinateur payé par l’assistance sociale.
Sans commentaire additionnel.
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