J’avais rater ce paragraphe :
Maintenant, sur chacun de ces plus de 60.000 éléphants existe un droit de propriété appartenant aux communautés indigènes locales sur le territoire desquelles se trouvent les troupeaux. Cela signifie que celui qui désire, par exemple, prendre en photo les mastodontes doit s’acquitter des droits d’image correspondants aux propriétaires légaux. Mais cela signifie surtout que les mêmes incitants qui poussaient naguère les indigènes à coopérer avec les braconniers sont les mêmes qui les amènent, dans la nouvelle situation, à les pourchasser sans merci.
C’est faux, ces éléphants se trouvent sur un parc national et n’appartiennent a personne si ce n’est au parc national et donc a l’état, c’est donc tout le contraire d’une privatisation.
En fait il n’y a pas de droit a l’image, mais un renversement de taxes aux communautés locales, qui sert a compenser l’interdiction du commerce d’ivoire.
Seul moyen de protéger les animaux autrement que de les mettre dans des cages.
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