Découvrir, non. C’est un lieu commun de dire que la presse est anxiogène. Ce qui est moins commun, c’est de vouloir le mesurer.
Après, dire que c’est hors de propos, sans recul ni profondeur d’affirmer que des personnes peuvent être névrosées, conditionnées ou fragilisées par ce nuage toxique d’informations incessant, basé comme vous le dites sur le couple émotion/audimat, c’est une affirmation péremptoire non argumentée. Il faudrait une grande enquête pour connaître exactement l’impact de la sphère informationnelle sur le taux de suicide, sur le nombre de dépressions, etc.
Quant à la liberté de la presse, évidemment que la presse n’est pas libre. La liberté absolue n’existe pas. L’objectivité non plus.
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