Je suis d’accord, il ne s’agit pas de faire l’autruche, juste de prendre de la distance. En école de journalisme, on apprend à faire de « l’incitatif » à « vendre » son papier au rédacteur en chef afin de pouvoir le vendre au public. On est complètement dans une démarche commerciale, dès le début.
Et effectivement, à force de parler de négatif, on finit par aimer ça. L’œil pétille, on devient cynique, on se met à cultiver un goût pour le morbide... On devient défaitiste : forcément, comment croire au positif quand on valorise à ce point le négatif ? Les journalistes sont les premières victimes de la manière dont ils traitent les informations, même si ce sont des victimes consentantes.
Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe, en haut à droite de cette page
Si vous n'avez pas de login / mot de passe, vous devez vous inscrire ici.
Agoravox utilise les technologies du logiciel libre : SPIP, Apache, Ubuntu, PHP, MySQL, CKEditor.
Site hébergé par la Fondation Agoravox
A propos / Contact / Mentions légales / Cookies et données personnelles / Charte de modération