Bonjour,
J’ai trouvé la première partie plus...littéraire. Et la deuxième est certes la plus didactique !
Mais ce n’est que mon opinion que je suis seul à partager...
Pour ce qui est des circuits d’approvisionnements les africains ne sont pas mal placés non plus !
Va faire un petit tour du côté de la Goutte d’Or : Dès la sortie du métro Barbès au milieu du brouhaha de la vingtaine de vendeurs permanents, tu percevras comme scandées, les syllabes mal-bou-row, mal-bou-row, et ton vendeur potentiel te proposera rapidement un peu de shit pour agrémenter ta soirée. Mais si tu es amateur, il t’indiquera le contact qui va bien pour des substances plus...stimulantes !
Comme tu le fais remarquer, de nombreux circuits d’appro de la coke passent par l’Afrique dont quantités de représentants sont issus d’anciennes colonies francophones et certains installés et vivants en France : ça crée des liens culturels au-delà de la la littérature et de la philosophie !
Brazzaville, Abidjan, Yaoundé...Hier points de départs des produits « coloniaux », aujourd’hui relais des trafiquants entre l’Amérique du sud et l’Europe. Mais, je pense, là bas comme dans les faubourgs de Naples, les mêmes guerres des gangs et des clans, les mêmes crimes pour de contrôle le l’argent que ça rapporte, du sang qui n’en fini pas couler sans que rien indique à ce jour que ce flot ne doive s’interrompre.
Bien à toi.
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