« C’est curieusement Angela Merkel, qui avait tant traîné la savate pour intervenir sur le dossier grec, qui a fait la réflexion la plus brillante de la semaine, reconnaissant l’immensité de l’impuissance du politicien sur l’épanchement de cette crise, et l’asservissement du politicien aux banques : « D’abord les banques ont failli, forçant les Etats à mener des actions de sauvetage. Elles ont plongé l’économie mondiale dans le précipice, et nous avons dû engager des plans de relance. A cause de ces plans de relance, nous nous sommes endettés, et maintenant, elles spéculent contre ces dettes, c’est vraiment très perfide ». »
Savoureux ! Quelle fausse naiveté/ fausse lucidité genre « oh on a filé la clé à ces bandits de grands chemin et puis on s’est mis les menottes tous seuls et on est dans la merde c’est con. »
C’était tellement prévisible, mais ceux qui le disaient étaient immédiatement qualifiés de (bouh !) conspirationnistes.
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