En réponse à :
« Cette aliénation, ce gouffre de défiance, plus grande que toutes celles que j’ai rencontrées nulle part ailleurs dans le monde - y compris dans les townships noirs d’Afrique du Sud pendant les années d’apartheid »
Le résultat de 40 ans d’intellectualisme. Ces « créatures » sont l’oeuvre de nos intellos soixante huitards, pêle mêle :
- le différentialisme : ces jeunes sont différents, on les appelle pudiquement « jeunedébanlieu », même si le terme jeune et aujourd’hui utilisé (lorsque l’on parle de jeune, on sait de qui il s’agit)
- la victimistation : ces jeunes sont des victimes de la société et du racisme. Il ne faut pas les condamner car ce n’est pas de leur faute (discours très en voqgue dans la France des années 90)
- la réussite par le sport et le rap : Zidane et Passi, voilà des exemples ! Pas question de faire des ingéneiurs ou des médecins.
- l’immigration non régulée : vive la société muluticulturelle, et si les immigrés s’installant en france se crashent dans les guettos, c’est la faute de l’extrème droite.
- la non instruction : l’histoire de France ne les interesse pas, ce n’est pas leurs origines, ils ne comprennet rien
- la repentance : des sociologues criminels vont même jusqu’à dire qu’ils nous (les blancs) font payer le colonialisme
- l’anti flic : le flic est un bourreau, le voleur de sac de vieille dame est une victime, même s’il tabasse la vieille dame.
Et d’autres anneries gauchistes.
C’est un problème d’élite... mais jamais on n’a pu changer les élites.
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