Et pourtant, j’aime l’anglais...
-L’inutile
anglomanie des entreprises
-Anglomanie dans la publicité et les services
-UE :
Barroso promeut l’Europe anglaise :
"...même si officiellement le
français reste avec l’anglais l’une des deux langues de la
salle de presse, quasiment tous les documents importants sont désormais
en anglais. Les porte-paroles ne parlent qu’anglais entre eux, ce qui
leur donne une vision très anglo-saxonne du monde : par exemple, pour
eux, le marché est une évidence, l’État un ennemi à abattre. Comprendre
les réticences des Français, aussi infondées soient-elles, en matière de
concurrence est souvent au-delà de leurs capacités intellectuelles :
pour eux, la France a tout d’une tribu africaine oubliée qu’il convient
de civiliser… Enfin, comme l’anglais est devenu la langue unique de la
Commission, cela favorise évidemment ceux qui ont pour langue maternelle
l’anglais : mieux vaut embaucher un Britannique plutôt que quelqu’un qui
aura simplement appris l’anglais. Et cela explique aussi le
déséquilibre au sein du service du porte-parole qui est devenu
structurel et non conjoncturel comme voudrait le faire croire
Laitenberger....Pourtant, il existe un commissaire chargé du
multilinguisme : mais, depuis qu’il a été nommé, en janvier dernier,
rien n’a changé. Lui-même s’exprime en anglais…"
-Impérialisme
linguistique
L’impérialisme linguistique
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